mardi 29 juin 2010

La FIFA s'excuse et promet d'étudier la vidéo sur la ligne de but

La FIFA va réexaminer la possibilité de contrôler la ligne de but grâce à la technologie, a annoncé son président Sepp Blatter.
Alors que la FIFA était restée sans aucune réaction face à la vague d'indignation mondiale provoquée par ces deux erreurs, Sepp Blatter a réuni des journalistes mardi pour livrer ses premiers commentaires.
Il a présenté ses excuses à l'Angleterre et au Mexique, les deux équipes victimes de ces incidents et éliminées. Puis il a affirmé que la question de l'arbitrage vidéo serait de nouveau évoquée par la FIFA dès juillet.
"J'ai exprimé mes excuses aux deux délégations directement concernées. Je comprends qu'ils ne soient pas contents. Les Anglais m'ont dit merci, les Mexicains ont baissé la tête", a déclaré le patron du football mondial.
"Il est évident qu'après ce que nous venons de vivre, ce serait ridicule de ne pas rouvrir le dossier de l'aide par la technologie en juillet à Cardiff", lors de la prochaine réunion de la FIFA les 21 et 22, a-t-il ajouté.
Mais "le seul principe sur lequel nous allons rouvrir le discussion, c'est la technologie sur la ligne de but", a précisé M. Blatter.
"Le football est un jeu de mouvement, et s'il y a une occasion de but, faut-il donner la possibilité à une équipe de réclamer des ralentis une ou deux fois comme au tennis? Pour une situation comme celle du Mexique, vous n'avez pas besoin de technologie", a-t-il argumenté.
Dimanche, un but injustement refusé à l'Anglais Franck Lampard contre l'Allemagne et un but hors-jeu accordé à l'Argentine face au Mexique ont relancé le débat récurrent sur l'arbitrage vidéo, auquel s'opposent pour l'instant la FIFA et surtout l'International Board, l'organisme chargé de définir les lois du jeu.
L'arbitre uruguayen Jorge Larrionda n'a pas accordé le but à Lampard contre l'Allemagne, alors que les ralentis télévisés montraient clairement que le ballon avait franchi la ligne de but à la 38e minute du match. Ce but aurait permis à l'Angleterre, alors menée 2-1, de revenir à 2-2.
En soirée, l'arbitre italien Roberto Rosetti a accordé un but entaché d'un hors-jeu très net à l'Argentin Tevez, contre le Mexique. L'action a été rediffusée sur l'écran géant du stade, mais l'arbitre, conformément au règlement, n'a pas tenu compte des images pour revenir sur sa décision, malgré les protestations des joueurs Mexicains.
M. Blatter lui-même, après avoir envisagé en début d'année le recours possible à la "technologie" pour le franchissement de la ligne de but, s'était rangé à l'avis du Board, et avait longuement argumenté contre l'introduction de la vidéo dans l'arbitrage.

lundi 28 juin 2010

Un gant de Michael Jackson adjugé pour 192'000 dollars

La vente aux enchères. réunissant plus de 200 objets en relation avec la star, était organisée à l'occasion du premier anniversaire de la mort du "roi de la pop".
Un gant parsemé de brillants porté par Michael Jackson durant une tournée mondiale en 1984 a été adjugé 192'000 dollars à Las Vegas. La vente aux enchères était organisée à l'occasion du premier anniversaire de la mort du "roi de la pop".
Le gant, l'une des signatures vestimentaires du chanteur de "Thriller", était le clou d'une vente de plusieurs centaines d'objet ayant appartenu à des stars de la chanson, organisée par la maison d'enchères californienne Julien's.
Plus de 200 objets en relation avec Michael Jackson - vêtements, photos, posters, disques, autographes - ont été vendus pour un montant avoisinant un million de dollars.
Le gant a été remporté par une habitante de Los Angeles, selon un journal local. Il a pulvérisé les estimations, tout comme de nombreux autres objets.
Une veste dédicacée portée par la star américaine sur son tube "Beat it" est partie pour 132'000 dollars et deux autres vestes ont été adjugées plus de 100'000 dollars. Un chapeau a trouvé preneur pour 56'250 dollars, tandis qu'une paire de mocassins dédicacés est partie pour 90'000 dollars.
Parmi les objets d'autres chanteurs dispersés lors de la vente, une chemise d'Elvis Presley a été vendue 61'200 dollars, une guitare de Johnny Cash a été adjugée 60'000 dollars, et une guitare de Jimi Hendrix est montée jusqu'à 180'000 dollars. Les paroles manuscrites de "Purple Rain" de Prince ont trouvé preneur à 67'650 dollars.

dimanche 27 juin 2010

C’est elle (encore) la star la plus sexy

A 24 ans, l’actrice américaine est encore désignée ce mois comme la star la plus sexy de la planète par le magazine masculin «FHM». Et, dès juillet, sa plastique parfaite s’étalera en grand format dans toutes les grandes métropoles pour la lingerie Emporio Armani.



Plus qu’une actrice, l’Américaine Megan Fox (24 ans) est un pur fantasme. Et à l’inverse de tant d’autres qui jouent les mijaurées, elle l’assume totalement. Quand l’an dernier, le magazine américain OK lui demandait si ce n’était pas fatigant d’être toujours considérée comme la fille la plus sexy de la planète, elle répondait. «A Hollywood, la plupart des actrices sont des sex-symbols vendus comme tels; plutôt que me sentir dégradée, moi j’en profite.»
Bien sûr, sa filmographie est des plus minces: quelques séries pour ados, «Jennifer Body», un film d’horreur qui a fait un flop, et un rôle de vamp incendiaire dans les deux volets de «Transformers». La scène où, en mini T-shirt, elle se penche lascivement sur le moteur de sa Chevrolet en panne est devenue culte sur la Toile.
Deux films seulement et pourtant, où que ce soit, de la Chine aux Etats-Unis, quand des magazines publient des sondages désignant la star la plus désirable, Megan Fox est presque toujours plébiscitée. C’est encore le cas ce mois dans le dernier FHM , où elle devance notamment Jessica Alba et Eva Mendes. Regard ravageur, jambes subtilement dévoilées, décolleté plongeant – même si certains doutent qu’il soit 100% naturel.
Comme annoncé cette semaine, Megan Fox jouera pour la deuxième année consécutive les égéries de la collection jeans et lingerie d’Armani. Dès juillet, la campagne d’affichage se déploiera dans toutes les plus grandes métropoles, de Tokyo à New York. On l’y découvre notamment en petite tenue, au saut lit, son fameux tatouage de Marilyn Monroe sur le bras droit. Une image très sexuelle que cultive déjà la marque italienne avec le footballeur Cristiano Ronaldo. «Pour Armani, archétype du minimalisme à l’italienne, s’associer à Megan Fox et à Ronaldo est une manière d’épicer son image», relève Stéphane Bonvin, spécialiste mode au Temps.
Actrice, Megan Fox l’est totalement. Exposée, elle cultive en permanence son image de femme fatale. C’est son fonds de commerce et elle le sait. Mais, dans cette attitude, quelle est la part de vérité? «Mon image de vamp, c’est le personnage que je joue pour les médias, mais personne ne sait qui je suis», déclarait-elle l’an dernier dans The New York Times, évanescente à la Garbo.
Côté projecteurs, la jeune femme proclame sa bisexualité, avoue un faible pour les mauvais garçons et jure siroter des bières vautrée sur son canapé. Née dans une famille pauvre du sud des Etats-Unis, elle attirait déjà les regards impudiques à 12 ans. Au lycée, elle portait des minijupes et des talons de gogo danseuse. Les filles moins jolies la bombardaient d’insultes. «Si être un modèle consiste à prêcher à vos enfants que le sexe avant le mariage est mal, alors je ne suis pas un modèle, poursuivait-elle dans le quotidien. En revanche, si vous voulez que vos filles se sentent fortes, alors je suis un modèle.»
Les bribes connues de sa vie privée révèlent pourtant une autre Megan. Loin des collectionneuses d’amants hollywoodiennes, elle sort depuis cinq ans avec l’acteur Brian Austin Green. Le tatouage gravé sur ses côtes est une ode à cet amour. «Il était une fois une petite fille qui ne connaissait pas le sens du verbe aimer jusqu’au jour où un garçon lui brisa le cœur.» Quand on lui demande si elle rêve d’un rôle dramatique, elle persifle: «Vous me voyez jouer une mère éplorée à la recherche de son enfant disparu?»